HOT YOGA… HOT ART! - YOGA CHAUD… ART CHAUD !
English Version - *version française dessous*
HOT YOGA… HOT ART!
First, my old studio
at Rideau, the company I owned, was adjacent to the company cafeteria. A wall
separated the two, but it was only 12 feet high, leaving a six-foot gap to the
18-foot ceiling. Because of this, I couldn’t use anything toxic or with strong
fumes, so oil paint was out.
Secondly, I found that
acrylic paint allowed me to work with a much broader range of mixed media.
However, the third and
most important reason was drying time. Since I was running Rideau, which
employed almost 300 people, I didn’t have much time to paint. Fortunately, my
studio was right beside my office, so I could go in early in the morning, stay
after work, or paint on weekends. Acrylic’s quick drying time allowed me to
apply multiple coats in relatively short periods. But sometimes, even that
wasn’t fast enough, so I set up a small enclosed room beside my studio with
space heaters to force-dry the paint. I also varnished all my paintings in
there. Over the years, I got used to working in the heat.
Now, in my current
studio, I keep the temperature between 90 and 100 degrees when I paint!
I usually create larger works on the floor, which allows me to move freely—almost like dancing—around the canvas. I often stretch over my paintings, making it a full-body workout. With the heat, it’s just like hot yoga! And hopefully, I’m creating “hot art” in more ways than one!
Photo Credit : Martin Chamberland
YOGA CHAUD… ART CHAUD !
Quand j'ai commencé à peindre, j'ai expérimenté les huiles, les aquarelles et les pastels. J'ai finalement opté pour la peinture acrylique pour trois raisons principales.
Premièrement, mon ancien atelier chez Rideau, l'entreprise dont j’ai été
propriétaire, était adjacent à la cafétéria de l'entreprise. Un mur les
séparait, mais il ne mesurait que 3,6 mètres de haut, laissant un espace de 1,8
mètre avec le plafond de 5,5 mètres. De ce fait, je ne pouvais utiliser aucun
produit toxique ou dégageant de fortes vapeurs ; la peinture à l'huile
était donc exclue.
Deuxièmement, j'ai découvert que la peinture acrylique me permettait de
travailler avec une gamme beaucoup plus large de techniques mixtes.
Cependant, la troisième raison, et la plus importante, était le temps de
séchage. Comme je dirigeais Rideau, qui employait près de 300 personnes, je
n'avais pas beaucoup de temps pour peindre. Heureusement, mon atelier était
juste à côté de mon bureau, ce qui me permettait d'y aller tôt le matin, d'y
rester après le travail ou de peindre le week-end. Le séchage rapide de
l'acrylique me permettait d'appliquer plusieurs couches en relativement peu de
temps. Mais parfois, même cela ne suffisait pas. J'ai donc aménagé une petite
pièce fermée à côté de mon atelier, avec des radiateurs d'appoint pour forcer
le séchage de la peinture. J'y ai également verni tous mes tableaux. Au fil des
ans, je me suis habituée à travailler dans la chaleur.
Maintenant, dans mon atelier actuel, je maintiens la température entre
32 et 38 degrés lorsque je peins !
Je crée généralement des œuvres plus grandes au sol, ce qui me permet de
bouger librement – presque comme si je dansais – autour de la toile. Je
m'étire souvent sur mes peintures, ce qui en fait un entraînement complet du
corps. Avec la chaleur, c'est comme du yoga chaud ! Et j'espère créer de
l'art chaud à plus d'un titre !
Credit Photo : Martin Chamberland
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