MY ACRYLIC ARMY - MON ARMÉE D'ACRYLIQUE
English Version - *version française dessous*
I’ve
experimented with many different types of paint.
When
I first started, I only used oil-based paints.
However, I wasn’t crazy about them, primarily because when I worked in
my parent’s jewelry factory, I developed a deep dislike of the smell of the
chemicals we used, especially the solvents.
I
tried both oil and chalk-based pastels.
I started using the chalk pastels on 600 grit automotive sandpaper. I
enjoyed blending the colors together on the sandpaper’s grit. It was a bit rough on the fingers, but I
loved the results! But I was always
concerned about the permanency of the medium.
Then
I fell in love with acrylics. They were
much less toxic than oils. They dried
quickly which was important because often, my time to paint was very limited. I loved being able to create my own colors
and having the freedom to drip, spray or brush them onto my creations.
Today,
I work exclusively with acrylics. I call
them my Acrylic Army!
PHOTO: PETER’S ACRYLIC ARMY –
Photos courtesy of Loic Pravaz
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Version française
MON ARMÉE D’ACRYLIQUE
J'ai expérimenté avec de nombreux
types de médiums.
Au début, j’utilisais uniquement de
la peinture à l’huile. Cependant, je n’en étais pas fou, principalement parce
que lorsque je travaillais dans l’usine de bijoux de mes parents, j’ai
développé une profonde aversion pour l’odeur des produits chimiques que nous
utilisions, en particulier les solvants.
J'ai essayé des pastels gras et secs.
J'ai commencé à utiliser les pastels secs sur du papier à sabler. J’ai aimé
mélanger les couleurs entre elles sur le grain du papier de verre. C'était un
peu dur pour les doigts, mais j'ai adoré le résultat final ! Mais j’ai toujours
été préoccupé par la pérennité du médium.
Puis je suis tombée amoureux de
l'acrylique. Ils étaient beaucoup moins chimiques que les huiles. Ils séchaient
rapidement, ce qui était important car souvent, mon temps pour peindre était
très limité. J'ai adoré pouvoir créer mes propres couleurs et avoir la liberté
de les égoutter, de les vaporiser ou de les appliquer au pinceau.
PHOTO: L’ARMÉE D’ACRYLIQUE DE PETER – courtoisie de Loic Pravaz
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